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Téléthon (Video-daniel-google)

Test Video doc  http://www.joomlaworks.gr/content/view/35/41/ Les videos google/youtube/dialymotion/… peuvent etre ajoutées en directe dans vos document. L’avantage c’est que c’est simple à faire, mais Attention: encodage par google video, youtube , daily motion, ….  ==> qualité de merd….. L’autre gros défault c’est la perte de controle de votre référencement google. A mon avis une bonne idée pour les videos perso qui peuvent etre référencées sur le site de manière temporaire (ex: la dernière sortie) mais à éviter pour tout ce qui est video institutionnelle ou nous voulons concerver le controle sur la qualité et sur le référencement. {google}-4638836217182104389{/google}    

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Les Trois Frères, Sinagot classé Monument Historique

 

Le Sinagot ne peut se dissocier de l’image du Golfe du Morbihan. Quand la Petite Mer est évoquée, elle ne l’est jamais sans un voilier à coque noire et voiles rouges, reconnaissable entre tous, que ce soit sur un dépliant touristique, une façade de restaurant, ou sur un calendrier !

Dernier véritable Sinagot naviguant dans le Golfe du Morbihan, Les Trois Frères a été classé Monument Historique en 1985. Ce bateau symbolise la commune de Séné et ses habitants, sa rareté et son histoire ont permis ce classement, demandé par l’association Les Amis du Sinagot

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Pourquoi ce nom « sinagot » ?

      Le Le sinagot, appelé « bateau de Séné » ou « chaloupe de Séné » dès le XIXe siècle (on trouve ces termes sur les rôles de bords déposés au Service Historique de la Marine à Lorient), fut assimilé aux habitants de la commune de Séné, au point de porter leur nom dès le début du XXe siècle. C’est un cas exceptionnel révélateur de l’importance de l’activité de cette communauté de pêcheurs du fond du golfe du Morbihan, site où la terre et la mer sont en constante interpénétration. Le sinagot est ainsi parfaitement adapté à la navigation dans le golfe du Morbihan, à ses courants, ses vasières.      

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Pourquoi naviguer en sinagot ?

        C’est bien sûr pour se faire plaisir, naviguer avec des gens sympathiques dans un cadre extraordinaire : le golfe du Morbihan, mais c’est aussi pour bien d’autres raisons. Naviguer sur un sinagot, c’est essayer de retrouver les gestes, les sensations des hommes et des femmes qui travaillaient autrefois sur ces bateaux. Restaurer un sinagot, ce n’est pas reconstruire un simple objet, c’est découvrir des métiers traditionnels et des compétences étonnantes. Comprendre la construction et le fonctionnement de ce bateau, c’est aborder les savoir-faire des anciens, leur connaissance du milieu naturel, c’est respecter les éléments en un mot acquérir un certain sens marin. Adhérer à l’association des Amis du Sinagot c’est rencontrer des gens passionnés qui apportent leurs compétences à l’association et qui retransmettent leurs connaissances aux nouveaux adhérents. On peut ainsi apprendre à naviguer sur ce bateau exceptionnel, mais aussi à découvrir les richesses du Golfe, chanter avec le groupe de chants de marin, apprendre à faire des surliures, épissures… avec l’atelier matelotage, rechercher dans l’abondante documentation réunie méticuleusement depuis de nombreuses années par Yann et Jean-Luc : un fond d’archives unique… Aujourd’hui, c’est même participer à l’élaboration d’un site !!! C’est tout cela les Amis du Sinagot, se faire plaisir tout en apprenant énormément des autres. Pour tout cela, merci à tous.  

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Le Joli Vent, premier Sinagot construit pour la plaisance

 

 

2009 est l’année du Joli Vent, baptisé lors de la prochaine Semaine du Golfe, il en sera l’une des principales attractions et participera ensuite aux manifestations locales tout au long de l’été. Ce bateau est promis à un bel avenir dans les eaux du Golfe, aux côtés de l’autre Sinagot que possède l’association, nommé Les Trois Frères et classé Monument Historique.

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prise de ris (taillevent)

Concepteur du guide: Yves ETIENVRE-LE PRIOL mise en page: Claude Rioche PRISE DE RIS (TAILLEVENT)  MANOEUVRE STANDARD . . ° Le barreur assure une zone libre suffisante pour une navigation sur le même bord pour la durée de la manoeuvre. . ° L’équipier qui changera le point d’écoute prépare avec lui la garcette qui permettra de réunir les oeillets. . ° On se mettra si possible bon plein. . ° Le barreur garde le cap, et gardera une attention permanente des alentours du bateau et de sa route. Il ne se soucie pas de la manoeuvre à l’intérieur du bateau. . Ne pas trop lofer –> perte de vitesse, donc de manoeuvrabilité, risque de se retrouver avec la misaine dans l’axe du bateau, ou de virer inopinément Ne pas trop abattre, le taillevent sortira à l’extérieur de la coque.  PHOTOS A INSERER ………. . . . .   ° On prépare le crochet de palan de passeresse dans l’oeillet supérieur ( la ralingue de guidant doit restée tenue par son bout).  . ………………………………………………… . .   ° Le barreur donne le TOP de départ de la manoeuvre . . ° Un équipier descend la drisse de la longueur nécessaire ( 2 fois la hauteur d’une bande de ris) en la laissant filer sous le banc par le cabillot. . .  ! SECU ! Ne jamais lacher la drisse toujours la tenir en la passant sous le banc autour du cabillot.    photo de ce qu il faut faire     Photo de ce qu il ne faut pas faire  photo de la reunion des oeillets par la garcette   ° Un équipier rattrape sans forcer le mou de la passerresse et l’assure provisoirement (vergue horizontale ou légèrement vers le haut. . ° Un équipier (ou mieux DEUX) change le point d’écoute en changeant le mousqueton du palan de l’ancien oeillet vers l’oeillet de ris, et réunis les deux oeillets grace à la garcette préparé précédemment. . ° On peut rétablir la tension de la passeresse par le palan et l’assurer. . ° On peut reborder la voile et reprendre sa route. . Opérations à effectuer dans l’ordre et de manière séquentielle.  photo de la voile en cours de roulage. . . . . . .  Les équipiers terminent la manoeuvre. . .. ° Rétablir le bout de tension de la ralingue de guidant. ° Rouler la voile par les garcettes de ris.          AUTRE MANOEUVRE .  photo de la garcette sur ecoute de taillevent .  . . . . En assurant le point d’écoute par une longue garcette frappée sur l’oeillet d’écoute par un noeud  de chaise puis passée dans la barre d’écoute et frappée sur une bitte – avant d’enlever le mousqueton de point d’écoute hors de l’oeillet.  (évite que la taillevent ait tendance à sortir de la coque en cas d’allure trop abattue; facilite la manoeuvre.  . AUTRE SOLUTION (radicalement différente) .   photo de la voile sur le pont Amener totalement le taillevent sur le pont et rouler la voile dans le bateau. . AVANTAGE: demande moins d’entrainement et moins d’équipage, calme le jeu en cas de survente temporaire, . INCONVENIENT:  beaucoup plus long, pont encombré par la manoeuvre, (en particulier s’il faut virer, l’écoute de misaine peut être masquée), voile à rehisser. .    

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Homme à la mer

Concepteur du guide: Yves ETIENVRE-LE PRIOL mise en page: Claude Rioche  HOMME A LA MER    MANOEUVRE STANDARD . ° La première personne voyant l’homme à la mer crie  » HOMME A LA MER  » et jette la bouée couronne. . ° Si c’est le chef de bord qui est tombé a la mer, le 1er équipier annonce  » Je prends le commandement  » et devient le chef de bord. . ° Il ne faut pas que tout le monde donne des ordres Le silence autant que possible.  . ° Une personne est désignée par le chef de bord ou se désigne pour ne pas perdre des yeux la personne tombée à l’eau. . . ° On manoeuvre pour revenir AU VENT du naufragé        – sur route « Au Près » , on continue un peu sur sa route        – sur route « Au Largue », on lofera légèrement        – sur route « Vent Arrière » on lofera en grand jusqu’à revenir AU VENT du naufragé. .  ° Cette personne ne participera plus à la manoeuvre il n’est donc pas nécessaire que cette personne soit un équipier. . . .Dans tous les cas ne pas virer trop tôt sous le vent du naufragé, ou trop près de lui.   ° Ensuite on vire de bord en gardant la misaine à contre, on choque l’écoute de taillevent, on est donc en cape courante . ° On se dirige vers le naufragé en arrivant « à son vent » , afin de pouvoir dériver vers lui. . Ne pas virer lof pour lof, cette manoeuvre déja plus difficile est à éviter dans le stress de la situation et fait que l’on s’éloigne rapidement du naufragé.   ° On récupérera le naufragé par 2 personnes l’agrippant sous chaque bras      AUTRE MANOEUVRE POSSIBLE .  ° Arriver « Largue » vers le naufragé et « sous son vent » , larguer les écoutes, et finir sur l’erre en lofant. . Beaucoup plus difficile que la précédente pour arriver précisément et à petite vitesse sur le naufragé. . A utiliser si l’on n’a pas assez pris « au vent » avant de revenir sur le naufragé. .  

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mouillage

Concepteur du guide: Yves Etienvre-Le Priol Mise en page : Claude Rioche   LE MOUILLAGE ° Descriptif d une ligne de mouillage. . photo a faire . . . . . . . . . . . . . . . Une ligne de mouillage est composé d’une ancre, d’une chaine de lestage, d’une ligne de cordage. La ligne de mouillage doit être rangée correctement dans l’ordre: la ligne en cordage , la chaine et l’ancre en dernier  en faisant attention qu il ne se produise pas de tour ou de noeuds pendant le rangement. ° Préparation du mouillage. – Sortir l’ancre de sa caisse, vérifier la solidité des attaches (manilles) et anneaux de chaine, vérifier la fixation du bout à la serre bauquière. !Ne pas avoir de fixation de l’ancre, de sa chaine et de son bout au bateau peut amener la perte de la ligne de mouillage en cas de manoeuvre ratée. (trop de fond, trop de courant, trop de vitesse). photo d’une ancre avec un orin . . . . . . – Préparer au besoin un orin sur la tête de l’ancre (si fonds rocheux). ! Utile en cas de fond rocheux, si l’ancre ne peut être halée par sa chaine, l’orin permettra de la soulever par l’avant et non en arrière. ° Le barreur se mettra sur un bord et le gardera jusqu’au jeté de l’ancre ( le bord babord est meilleur car l’on est pas gêné par la misaine lors de la mise à l’eau de l’ancre, attention par contre à la gite, ( l’ancre peut glisser sur le pont ). . ° Disposer l’ancre du coté babord du bateau ( sous la misaine si l’on est babord amure). – Par  temps clément: sur le pont du BI. – Par temps houleux/venté: la laisser sur le plancher; si l’on est babord amure, la mettre dans la caisse de rangement. !Trop long à l’extérieur peut faire tomber la chaine à l’eau avant le moment désiré: par exemple si elle touche et est entrainée par l’eau avant l’arret du bateau. . .. . .. . . . . . ° Disposer l’intégralité de la chaine sur le martyr avec égale longueur à l’intérieur et à l’extérieur du bateau. !Trop long à l’extérieur peut faire tomber la chaine à l’eau avant le moment désiré: par exemple si elle touche et est entrainée par l’eau avant l’arret du bateau. . . . °  Le barreur lofe jusqu’à la position de mouillage, en prévoyant d’arriver avec le moins d’erre possible. Le barreur donne l’ordre de mouiller. . . !Ne pas mouiller de sa propre initiative. seul le barreur (ou chef de bord) juge du lieu et du moment. ° L’ancre est jetée à l’eau, le jas vers l’arrière, sans se préocuper de la chaine. (admirez le geste du jeteur d’ancre) !Il n’a pas lieu de monter sur le bi. !SECU! On n’aura pas ces pieds sur, ou dans le bout. photo du bout sur la bite ??? . . . . . . . ° On passe le bout autour de la bitte latérale , en faisant 1 à 2 tour morts. ! Ceci doit être réalisé d’autant plus vite que le bateau à de la vitesse, avant que la ligne de mouillage se tende. !Eviter de travailler la chaine en direct sur la bite. ! SECU ! Ne pas engager sa main entre le bout et la bite. photo d un equipier sur le Bi en train de fixer la ligne de mouillage . . . . . . . ° Lorsque le bateau est immobilisé ou en passe de l’être au vent/courant, ramener le bout sur l’étrave. !Ne pas lacher les tours morts autour de la bite avant l’immobilisation de bateau. . ° Laisser 5 fois la hauteur d’eau en chaine + bout au minimum, en prévoyant la marée montante . . . photo du bateau a l’ancre       ………………. ; ; ; ; ; ; ; . . . . ; ;; ; AUTRE MANOEUVRE POSSIBLE . . ° Disposer l’ancre du coté tribord ==> facilite le lancer lors d’une arrivée tribord amures. . ° Idem : manoeuvre standard, sauf que la chaine reste dans la caisse. S’assurer avant le jetée qu’il n y a pas de noeud dans l’ensemble chaine + bout . A faire impérativement si il y a eu des mouvements brusques du bateau (houle, vent..).    

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